Diagnostic amiante
devis Diagnostic amiante

Un mal pour un bien

Enrobés HAPLes travaux dans le quartier Montaigu de Melun (Seine-et-Marne) sont suspendus car de l’amiante a été détecté dans le revêtement des chaussées.

C’est le repérage préventif, dorénavant obligatoire, qui a révélé la présence de cette matière fibreuse cancérigène.

Il a ainsi permis d’éviter d’exposer les ouvriers, mais aussi le voisinage, à des risques lourds.

Les habitants et surtout les commerçants vont devoir prendre leur mal en patience dans l’attente d’analyses complémentaires et de la mise en place des procédures de précaution adéquates sans lesquelles la reprise des travaux est impossible.


La recherche d’amiante dans les enrobés routiers : la gestation douloureuse d’une expertise pourtant essentielle

Le décret 2012-639 du 4 mai 2012 a instauré le principe d’évaluation et de protection face aux risques amiante dans les infrastructures de voirie.

Tout chantier de travaux doit être précédé d’une recherche en présence de cette substance cancérigène.

Mais ce dispositif pose un problème de moyens disponibles pour effectuer les analyses. En effet, l’actinolite, détectée dans plusieurs revêtements de voirie, comporte des formes amiantifères.

Le problème réside dans le fait que la plupart des laboratoires accrédités pour effectuer les analyses de prélèvements ne sont pas équipés pour identifier la variété de cette roche naturelle. Par principe de précaution, de nombreux maîtres d’ouvrage ont donc décidé la suspension de leurs chantiers dans l’attente d’expertises complémentaires et d’une clarification réglementaire.

Le ministère de l’Écologie, en concertation avec les professionnels du BTP et l’INRS, a engagé une réflexion sur la révision des protocoles de repérage d’amiante.


Désamiantage de la maternelle de Cléguer : le choix de la raison

amiante désamiantageLa rénovation de l’école maternelle de Cléguer (Morbihan) s’avère plus compliquée que prévue en raison de la découverte d’amiante.

La municipalité a choisi de prendre les précautions les plus drastiques en privilégiant le retrait des matériaux plutôt que leur simple confinement.

Cette décision entraîne un surcoût important et un allongement des délais d’exécution de sorte que les travaux ne seront pas terminés à la rentrée prochaine.

Des pistes sont à l’étude pour l’accueil provisoire des élèves dans l’attente de l’achèvement de ces travaux indispensables à la sécurité des enfants et des personnels.


Le principe de précaution face aux nécessités sociales : l’amiante un cas d’école

AmianteUn chantier de rénovation d’une HLM dans le XIXe arrondissement de Paris est suspendu en raison d’une possible dispersion de poussières d’amiante alors que les lieux restent occupés pendant la durée des travaux.

Si la présence d’amiante est reconnue par le bailleur et l’architecte à la suite d’un repérage préalable, les risques d’exposition sont en revanche écartés. Ce qui n’est pas du goût des locataires qui s’insurgent d’être directement au contact des poussières dégagées par les travaux et s’interrogent sur leur dangerosité, d’autant plus que certains se plaignent de toux, de nausées et de migraines depuis le début du chantier.

Ils demandent leur relogement ainsi qu’une indemnisation et ont déposé plainte pour mise en danger d’autrui.

Le bailleur affirme pourtant avoir mis en place les dispositifs de protection adéquates et que les désagréments subis sont sans lien avec l’amiante dont les conséquences sur la santé mettent plusieurs années à se déclarer.

Une affaire symptomatique des difficultés nouvelles auxquelles les chantiers immobiliers sont confrontés.


Nantes métropole lance les premières expertises d’amiante avant la démolition du Min

Amiante avant démolitionEn 2018, le Marché d’intérêt national (Min) aujourd’hui installé sur l’île de Nantes sera transféré à Rezé.

Il laissera la place à des bâtiments du CHU. Dans le cadre des futurs travaux de démolition du site actuel du Min, Nantes Métropole a lancé un appel d’offres pour la réalisation d’une mission de repérage amiante.

Cette procédure est obligatoire et permettra de prendre les dispositions nécessaires à la sécurité du chantier, ainsi qu’à la protection des intervenants et de l’environnement des travaux.


Amiante : la destruction d’une HLM à Saint-Jean-de-Valériscle inquiète la population

Si tout le monde s’accorde sur la nécessité de démolir cette construction mal intégrée dans le village gardois, les familles logeant à proximité de l’opération commencent à perdre patience devant le manque de réponses à leurs interrogations.

La présence d’amiante a bien été établie par une première expertise, mais le collectif regroupant les habitants demandent un repérage complémentaire plus exhaustif, prétextant que de nombreux éléments n’ont pas été sondés.

Le propriétaire de la HLM a accepté cette requête. Espérons que toutes les précautions pour protéger la population soient prises et que le village retrouve rapidement sa tranquillité.


Démolition du quartier Tunc-Houdart à Melun : l’amiante retarde les travaux

Démolition AmianteDans le cadre du Plan de rénovation urbaine, plusieurs immeubles sont en démolition. Mais le chantier connait d’importants retards.

Le diagnostic amiante réalisé avant travaux n’avait pu permettre de déceler la présence de dalles de sol contenant de l’amiante.

Toutes les précautions ont donc été prises par l’entreprise spécialisée en charge des opérations de désamiantage : renforcement de la protection des ouvriers, dispositions limitant l’impact sur l’environnement des travaux, etc. Comme souvent pour les chantiers immobiliers, le délai des interventions s’est vu rallongé, mais cette fois-ci pour de bonnes raisons.



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